Il brille sur les tatamis tout comme dans les études  où son parcours universitaire est aussi éloquent qu’inspirant. Double médaillé Olympique en 2016,  2024 et champion du Monde 2023 des +80 kg, Cissé Cheick Sallah est titulaire d’un diplôme de Professeur d'Education Physique et Sportive lui donnant le statut de fonctionnaire d’Etat, d’un MBA en International Business Management  obtenu à Graduate School of Management en 2020 et d’un MBA en Stratégie de Développement d'Entreprise obtenu avec brio en 2024, en France. La cérémonie de remise de parchemin a eu lieu le samedi 15 mars 2025, à l'Hôtel du Département de Lyon en présence  de ses proches,  d'un parterre de dignitaires du monde universitaire et d'éminentes personnalités dont le Président de la République de Sao Tomé-et-Principe, S.E.M. Carlos Manuel Vila Nova distingué Docteur Honoris Causa.  

Inscrit en 2022 à l'Ecole de Commerce de Lyon afin de renforcer ses connaissances dans les projets de développement et d'éducation, il connait quelques contraintes liées à la  préparation du championnat du Monde 2023 et des Jeux Olympiques de Paris 2024. Mais, résilient, combattif et persévérant,  le jeune prodige du Taekwondo ivoirien ne baisse pas pour autant les bras et décide d’aller au bout de ses ambitions.  Et sa rage de vaincre va s’avérer fructueuse puisqu’il obtient non seulement une médaille de bronze aux Jeux Olympiques de Paris 2024 mais également il achève ses cours à l'École de Commerce de Lyon et passe avec succès son MBA en Stratégie de Développement d'Entreprise.

 Pour  le médaillé Olympique 2016, ces  MBA en Stratégie de Développement d'Entreprise et en  Business Management sont considérés comme deux autres médailles d'or.

Remerciant ses fans et tous ceux qui ont contribué à sa réussite ou qui l'ont soutenu en prières et en pensées, Cissé Cheick Sallah souhaite que son parcours inspire plus d'un et que les jeunes sportifs comprennent qu'on peut allier sport et études pourvu qu'on sache ce qu'on veut, qu'on soit ambitieux, déterminé et courageux comme il l'a été depuis 2013, date de son entrée officielle en équipe nationale de Taekwondo de Côte d'Ivoire.

Devant les projecteurs à Lyon, Cissé Cheick Sallah Junior a également déclaré que bien qu'il ait été un modèle sportif ayant atteint le sommet mondial, il tient à  rester une  référence pour tous ceux qui ont du mal à préparer leur reconversion.

C'est pourquoi, il rêve d'être pour les jeunes de Côte d'Ivoire et d'Afrique cet Ambassadeur du Sport et de l'Éducation qui leur partagera son expérience de sorte que cela leur serve d'exemple  dans leurs domaines respectifs.

P.L avec Sercom Cheick Cissé.

Suite à de nombreuses plaintes des citoyens concernant le désordre et des accidents causés par les  mini cars communément appelés  ‘’gbakas’’, le Député-Maire Soumahoro Farikou a décidé d’organiser sa commune et par ricochet le secteur du transport à Adjamé. Pour ce faire, il a pris une mesure interdisant   à ces ‘’Gbakas’’  de circuler à l’intérieur de la commune. Désormais,  une gare de transit située au lieu où devrait être construite la gare internationale leur est dédiée. Cette mesure visant à améliorer la circulation dans la commune d'Adjamé, à alléger la congestion routière ,  à améliorer le cadre de vie des populations Adjamoise, à renforcer la sécurité des usagers et  à réduire les risques d'accident liés à la saturation des routes, n’est pas faite pour nuire à qui que ce soit. Bien au contraire, elle est salutaire pour tous, a  expliqué, au cours d’un point de presse tenu hier jeudi 13 mars 2025 à la salle de conférence de la Mairie d’Adjamé, le Député- Maire Soumahoro Farikou  qui avait à ses côtés  le conseiller technique Basile Ouattara et des  responsables des syndicats des transporteurs.

« L’objet de cette rencontre est d’expliquer à la face de la nation que l’ancien site  réservé à la construction de la gare internationale sera le point de transit de tous les mini-cars qu’on appelle communément ‘’gbakas’’. Depuis  12 ans,  ce projet de construction ne voit pas le jour. Nous avons donc décidé d’en faire une gare de transit pour tous. La commune d’Adjamé reçoit tout le monde et nos populations en ont ras le bol  avec les accidents des élèves  causés par des mini-cars à travers les différents quartiers d’Adjamé et des stationnements dans certains endroits.   De plus, lorsqu’il y a des décès, la population ne peut pas se frayer un chemin à cause  de ces mini cars. Alors, si on trouve pour la première fois une gare de transit qui leur est dédiée, c’est l’idéal.  Tous ceux qui viennent de Bingerville, d’Abobo, d’Anyama, de Yopougon…   sont en transit pour se rendre dans d’autres communes  du District d’Abidjan. Je pense que si les mini-cars ont une gare c’est salutaire pour tout le monde. Car cela va nous éviter beaucoup de choses. Outre les accidents,  ces mini-cars  seront également à l’abri  des tracasseries.  Cette mesure ne vise pas à interdire à qui que ce soit de venir à Adjamé mais c’est pour organiser notre commune  et organiser par ricochet le transport avec les syndicats. C’est ce que nous sommes en train de faire », a expliqué le Député -Maire de la Commune d’Adjamé.

Quant au conseiller technique  Basile Ouattara, il a  tenu à rassurer les populations qui ne seront pas laissées pour compte puisque la Société de Transport Abidjanais (SOTRA) ainsi que les taxis communaux assureront la navette pour leur permettre de circuler en toute sécurité dans la commune. « Partout en Afrique,  il y a une gare de transit .Le maire a pensé au bien-être de ses populations. Cette décision participe au développement de la Côte d’Ivoire. Ce n’est pas que nous voulons chasser les ‘’gbakas’’ mais nous voulons améliorer », a-t-il indiqué tout en précisant que cette gare d’embarquement et de débarquement des passagers en transit  qui sera créée bénéficiera d’un certain nombre  de commodités  et permettra enfin à la commune de respirer.

  Patricia Lyse

Personnalité bien connue du monde culturel, Princesse Merxess marque son retour sur la scène musicale avec un nouveau single intitulé Never Give Up (Ne jamais abandonner). À travers ce titre, elle adresse un message de persévérance et d’encouragement, fidèle à son engagement social.

Née à Kinshasa d’un père militaire et d’une mère chanteuse au sein du groupe MPR sous l’ère du président Mobutu Sese Seko, Princesse Merxess s’est imposée au fil des années comme une figure influente du showbiz. Productrice de la télé-réalité Black Stars 6 Étoiles Africa Awards, organisée en 2019 à Abidjan, elle s’investit activement dans la promotion de la culture africaine.

Une artiste engagée et polyvalente

Passionnée de musique, notamment de la rumba qui a bercé son enfance, Princesse Merxess ne se limite pas à la scène musicale. Elle est également actrice, femme d’affaires et créatrice de mode avec sa marque Kassadra Berlicheune. Son engagement humanitaire l’a conduite à devenir ambassadrice de sept associations caritatives, organisant des actions en faveur des plus démunis en Afrique, en Europe et en Amérique.

Son influence lui a valu plusieurs distinctions, dont le prix de la révélation décerné par l’association ASSCO le 15 juin 2015, ainsi que le Micro Mérit' Awards, remis par des icônes de la musique congolaise telles que Papa Noël Dino Vago, Bovick Shamar et Faugus Izeidi. Elle a également été saluée par des professionnels de la communication, à l’instar de l’Ivoirien Serge Fato sur Télé Sud.

Un retour musical porteur de message

Avec Never Give Up, Princesse Merxess réaffirme sa détermination à inspirer et sensibiliser à travers la musique. Un message fort qui s’inscrit dans la continuité de son engagement en faveur du développement de la culture africaine et du soutien aux personnes en difficulté.

Sercom

Mme Nialé KABA, Ministre de l’Économie, du Plan et du Développement, a pris part à la signature d’un accord visant à renforcer l’offre de logements abordables en Côte d'Ivoire. Cette cérémonie, qui a eu lieu le lundi 10 mars à la Présidence de la République en présence du Vice-Président, M. Koné Tiomoko Meyliet, marque un tournant dans la lutte contre le déficit de logements dans le pays.

D’un montant de 27 millions de dollars, soit environ 16 milliards de francs CFA, ce financement de la Société Financière Internationale (SFI), membre du Groupe de la Banque Mondiale, est destiné à soutenir la construction de 5 600 logements abordables dans le Grand Abidjan. Ce projet vise à atténuer le manque de logements auquel la Côte d'Ivoire fait face depuis des décennies.

« Ce projet témoigne de la détermination de la SFI à soutenir le développement durable et à améliorer les conditions de vie en Côte d'Ivoire », a souligné M. Sérgio Pimenta, Vice-Président de la SFI pour l’Afrique. Il a ajouté  qu’: « en mobilisant des investissements privés, nous contribuons à combler le déficit croissant de logements pour les ménages à revenus faibles ou moyens et à favoriser le développement socioéconomique du pays. Ce partenariat illustre également l'engagement de la SFI en faveur des investissements Sud-Sud et de l’intégration régionale en Afrique. »

De son côté, le Président du Groupe immobilier ADDOHA a exprimé sa satisfaction quant à ce partenariat, déclarant que  : « cet accord avec la SFI nous permet d’accélérer le développement urbain initié par ADDOHA-Côte d’Ivoire, notamment dans la commune d’Attécoubé. Nous renforçons ainsi notre engagement à fournir des logements de qualité et accessibles aux familles ivoiriennes. »

Grâce à ce projet, plus de 23 000 personnes devraient bénéficier d'un accès à un logement décent. La Ministre Nialé KABA, a joué un rôle essentiel dans la facilitation de cette initiative, contribuant ainsi à un développement urbain durable en Côte d'Ivoire.

La Ministre a aussi plaidé pour de nombreux financements en volume important sur une longue durée en vue de permettre aux promoteurs d’assurer le logement en Côte d’Ivoire.

Tout en relevant les contraintes liées au logement dans notre pays, la Ministre de l’Economie, du Plan et du Développement, a rappelé l’accompagnement de la SFI dans le développement stratégique de la Côte d’Ivoire en lien avec le PND.

La Société Financière Internationale (SFI) est la plus grande institution mondiale d’aide au développement axée sur le secteur privé dans les marchés émergents. Elle mène des opérations dans plus de 100 pays, en investissant dans des projets pour créer des marchés et des opportunités dans les pays en développement. En 2024, la SFI a engagé un montant record de 56 milliards de dollars pour soutenir les entreprises privées et les institutions financières dans les pays émergents.

 Dircom MEPD