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mardi, 03 septembre 2024

Taekwondo / Cissé Cheick témoigne sa reconnaissance à Maitre Bamba CHEICK.

Rentré de Paris (FRANCE) paré de la seule médaille olympique de la délégation ivoirienne ayant pris part aux dernières olympiades tenues sur la terre des ancêtres de Pierre De Courbertin du 26 juillet 2024 au 11 août 2024, Cissé Cheick Sallah Junior qui profite d'un temps de repos bien mérité à Abidjan depuis le 12 août dernier a tenu à traduire sa reconnaissance à Maître Bamba Cheick Daniel. 

Dans sa somptueuse résidence remplie de souvenirs située à une trentaine de minutes du Centre de la Commune de Cocody en voiture, le premier médaillé d'Or olympique de toute l'histoire du Taekwondo africain, le seul médaillé de la sous-région ouest africaine des récents JO 2024 et son épouse ont convié l'ancien Président de la Fédération Ivoirienne de Taekwondo et son secrétaire général, Maître ANZOUMANA Siaka, à partager un repas.

Ce mercredi 27 août 2024, l'occasion a été bonne pour Cheick Sallah de rendre témoignage et d'exprimer son infinie gratitude à celui qui lui a donné la chance de découvrir le Taekwondo au plus haut niveau et qui a tout mis en œuvre pour faire de leur génération des athlètes de dimension internationale.

Oui, la génération conduite par Gbagbi Ruth Marie Christelle et Cissé Cheick Sallah, fut une génération d'athlètes pétris de talents et doués à l'image des Logbo Naounou Peken, Diomandé Banassa , Kobenan Georges Emmanuel, Kassi Anicet Baudoin, les frères Gbané (Hamza, Seydou et Abdoulaye), Aka Sonia,  Koné Mamina, Sié Clofolo Moïse, Traoré Aminata Charlène, Aka Chia Audrey, Kobenan Aaron François, Coulibaly Bouma Ferimata, Diakité Issa, Bathily Astan Katherine Feghe,... pour ne citer que ces quelques athlètes qui ont contribué au repositionnement du Taekwondo ivoirien à partir de 2012.

Un instant saisi par notre champion olympique pour raconter ce qu'il n'oubliera jamais : "la vision du Président Bamba Cheick Daniel nous a aidés à être des athlètes aguerris. Personnellement cela m'a permis de défier tous les ténors de la catégorie des -80 kg et des +80 kg et fait de moi non seulement le numéro UN MONDIAL de ces deux catégories mais également celui qui a fait retentir l'hymne national de la Côte d'Ivoire pour la première fois à des Jeux Olympiques. Ce parcours auréolé de succès m'a conduit aujourd'hui à diriger les commissions  des athlètes au sein de l'instance africaine et de l'instance mondiale du Taekwondo".

 

Il poursuit et je cite : "Dieu a mis le Président Bamba Cheick Daniel sur ma route pour que je bénéficie des retombées de son projet olympique dont l'objectif phare était d'obtenir une médaille olympique pour la Côte d'Ivoire. Tout a été planifié à l'entame de sa gestion fédérale dès 2009".

 

Autour d'une table bien garnie dans une atmosphère conviviale et bien familiale, Polozo (sobriquet de Cissé Cheick Sallah Junior) s'est souvenu ce cheminement impressionnant qu'il a vécu sous le leadership du Président Bamba Cheick Daniel à travers une politique de détection savamment menée qui l'a déniché et de relever ce laborieux programme technique conçu à l'effet de briser le mythe de la scène internationale. Sur son sacre à Rio, notre Champion se rappelle et explique :

"Ruth, Mamina et moi avons bénéficié d'une préparation minutieuse à l'orée des JO 2016 précisément entre janvier 2016 et juillet 2016. C'est cette préparation de six mois dans de grands centres d'entraînement en Espagne, en Allemagne renforcée par des regroupements de longue durée avec un encadrement de pointe, le tout a favorisé cette médaille olympique en OR et celle en bronze ce 19 août 2016 à Rio de Janeiro au Brésil. Je peux dire que c'est à partir de là que ma vie prend un tournant décisif. Du petit Taekwondo in de la Ligue de Koumassi me voilà athlète professionnel. Il a fallu ce formidable travail de l'équipe du président Bamba Cheick Daniel pour qu'on obtienne ces deux médailles à Rio et mériter ce puissant appui de Son Excellence Monsieur le Président de la République et de l'État de Côte d'Ivoire".

Pour dire qu'il n'y a point de hasard aux JO, Cissé Cheick Sallah Junior le confirme bien :

"Les JO se préparent. Il n'y a pas de hasard aux JO. Je salue le management du Président Bamba Cheick Daniel. Il a su faire ce qu'il fallait pour qu'en deux rendez-vous des JO, nous nous en sortons avec trois trois médailles olympiques. Le travail s'est poursuivi et voilà cette médaille olympique remportée à Paris. C'est le résultat de Onze (11) bonnes années (2013-2024) de sacrifices, de détermination, d'abnégation, de foi profonde et de volonté personnelle. J'avais absolument besoin d'un podium olympique à Paris, pour moi, pour mon épouse, mes parents et pour dire merci à la Côte d'Ivoire. A présent, c'est chose faite. Cette médaille, je la dédie au peuple de Côte d'Ivoire, à commencer par le Président de la République et son épouse, à son gouvernement, à ceux qui m'ont formé et inculqué le sens de la compétition, aux bonnes volontés qui m'ont soutenu financièrement, matériellement, moralement qui ont toujours souhaité garder l'anonymat, à la communauté des Taekwondo ins, à l'équipe dirigeante actuelle de la Fédération Ivoirienne de Taekwondo conduite par Monsieur Jean Marc Yacé, au mouvement sportif de Côte d'Ivoire, à tous ces sportifs et amoureux de Taekwondo. Je n'oublie pas celui par qui tout a commencé, le Ministre Bamba Cheick Daniel, son bouillant secrétaire général de l'époque, Maître ANZOUMANA et tous ceux qui l'ont soutenu durant ses douze ans à diriger le Taekwondo ivoirien. Ce déjeuner est notre manière, mon épouse et moi de leur dire à tous Un Grand Merci.

Merci à Dieu, Merci à ceux que je n'ai pu nommément citer".

Ce déjeuner au domicile du couple Cheick Sallah  qui a débuté vers 14h30 a pris fin vers 18h30 par des présents remis au Ministre Bamba Cheick Daniel, à son épouse et à Maître ANZ. Et cela, en souvenir de leur passage  dans cette demeure digne d'un champion olympique.

L'on peut le dire tout net, Cissé Cheick Sallah Junior a connu une carrière sportive riche et pleine.

Un bel exemple de réussite que certainement d'autres talents vont copier.

Pour le Sercom de Cissé Cheick Sallah.

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1ère journée des Eliminatoire de la CAN 2025 : CI-Zambie/Tout sur la billetterie

Dans le cadre de la 1ere journée des éliminatoires de la CAN Maroc 2025, les Eléphants de Côte d’Ivoire seront  face aux Chipolopolos de la Zambie, le  6 septembre 2024 au stade de la paix de   Bouaké. Avant ce rendez –vous,  le Directeur exécutif de la fédération ivoirienne Football Armand Gohourou  a rappelé que 32 200 billets ont été mis en vente et environ 3600 invitations. Toutefois, il rassure que des tickets sont encore disponibles.

«  Au niveau de la fédération, tout est mis en œuvre pour qu’on ait une belle rencontre. Les préparatifs vont bon train. Les joueurs sont là ;  ils se préparent, ils sont tous arrivés. Au plan organisationnel,  la  Fédération a mis tout en œuvre. L’Innovation  dans ce dispositif concerne la distribution des billets.  Par le passé, il y a eu beaucoup de malentendus, d’incompréhensions et  de tiraillements. La Fédération,   pour ce match,  a décidé de  contracter avec un partenaire pour la distribution de billets à travers ses réseaux. Nous avons expérimenté cela  à Korhogo et c’est la 2e phase  de  cette collaboration avec ce partenaire  qui,  pour nous,  donne entièrement satisfaction.  Aujourd’hui,  on a jugulé pas mal de problèmes. Premièrement, les  billets que nous émettons aujourd’hui sont des billets tracés. Des billets qui  s’acquièrent à partir d’un contact précis. C’est-à-dire qu’il y a forcément un numéro de téléphone auquel votre billet est rattaché. Puis l’acquisition se fait par mobile money. Nous avons remis la grande majorité des billets à ce partenaire. Il faut dire que la fédération  a mis en vente plus de 32 200 billets et 3600 environ invitations. Aujourd’hui,  nous pouvons dire que la vente se déroule très bien,  le check point que nous avons fait  avec  le partenaire,  on était à 20500 tickets  écoulés. Il faut noter que la vente a démarré le  29 août 2024 aux environs de 11 h, 12 heures et déjà  samedi,  on était à 10 000 billets écoulés. Du  point fait lundi dernier ;  nous étions à 20 000  et sur les 20000 tickets, 70% des tickets ont été vendus à Bouaké. Donc aujourd’hui, les circuits de vente fonctionnent très bien. Contrairement à ce que  certains pourraient dire, les billets ne sont pas épuisés. Des billets sont encore disponibles dans les réseaux de vente du partenaire. Je veux donc rassurer les Ivoiriens et tous ceux qui ont envie d’aller au stade qu’ils ont encore des billets à leur disposition. Il faut aller vers les points de vente. Je  voudrais cependant profiter de cet instant pour appeler à la prudence de tous ceux qui achètent les billets. Aujourd’hui, il y a un dispositif qui est sur le billet qui vous permet de vérifier  vous-même son authenticité. Il suffit d’avoir un téléphone. Vous mettez en marche la caméra et vous flashez  et le ‘’code QR’’ qui est sur le téléphone vous dira que c’est un billet qui  est authentique. Evidemment si ce billet  a été reproduit, il va vous indiquer  que ce billet ne figure pas dans la base de données. Donc si vous n’achetez  pas votre billet aux endroits indiqués et avec votre numéro de téléphone, vous pouvez  avoir  des soucis. C’est pour cela que tous ceux qui achètent des billets, je voudrais les inviter à faire attention parce  qu ‘il y a toujours des petits malins qui vont tenter  mais ne tombez pas dans ce jeu. A Bouaké, il y a plus de 10 points de vente. A Abidjan pareillement. Dons nous pensons qu’aujourd’hui, les choses se déroulent avec moins d’incidents et  les billets que nous avons autorisé par individu est 5. Evidemment, on permet l’achat groupe. Et donc s’il y a des structures qui veulent plus de 5 billets, il suffit simplement d’adresser un courrier à la fédération pour  pouvoir entrer en possession de ces billets. Ce que je veux dire et qui est important à savoir, malheureusement plusieurs attendent toujours les derniers jours pour acheter leurs tickets. C’est ce qu’il faut éviter parce que c’est un match qui va dérouler à guichet fermé. Donc  déjà, le jeudi soir au plus tard  c’est  qu’il n’y aura plus de tickets. Voici ce que je voulais dire. Contrairement à ce qui se dit, les billets ne sont pas en rupture. Les billets sont bel et bien là. Vous en avez dans les points de vente.   Quand on m’a fait le point de Bouaké ce matin, mes collaborateurs m’ont dit qu’il y a eu un renfort venu de Yamoussoukro. Nous même nous serons à Bouaké pour nous assurer que la vente se fait correctement et qu’il  n’y a pas de souci. Dans tous les cas, il faut le noter, c’est un stade de 40 000 places.  Donc c’est clair que tous les ivoiriens  ne pourront pas rentrer au stade. Il faut aussi fait remarquer que nous avons émis 35 000 billets environ parce qu’il faut tenir compte de la marge de sécurité  qui  est généralement autour de 10% pour   qu’il y ait la fluidité dans la circulation dans les stades. Donc  à partir de  là, ceux qui ne pourront pas acquérir leur billet dans les délais, nous  les invitons à suivre le match à la télé ».  

 Propos transcrits par Patricia Lyse   

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Interview/ Arsène Koffi (SG du SYNBIODECI) /« Mon plus grand défi est d’œuvrer à la mise en place de l’Ordre des Techniciens Biologie Médicale »

Arsène Koffi Kouadio est le secrétaire général du Syndicat National des Biotechnologistes Diplômés d’Etat de Côte d’Ivoire (SYNBIODE-CI). Il nous partage la vision du SYNBIODE-CI dans une interview qu’il nous a accordée. Et surtout, le défi qu’il entend relever pour mettre de l’ordre dans ce corps de métier.

Présentez-nous votre syndicat

Créé le 08 février 2023, le Syndicat National des Biotechnologistes diplômés d’Etat en abrégé SYNBIODE-CI est une organisation syndicale du secteur de la Santé, regroupant les Techniciens Biologie Médicale, les Ingénieurs des Techniques Sanitaires en Biologie Médicale. Régie par la loi N° 2015-532 du 20 juillet 2015 portant code du travail, le SYNBIODE-CI se voudrait un outil de communication, de régulation, de revendication et de plaidoyer au service des Biotechnologistes, des agents de la Santé en général et du Gouvernement. Nous sommes présents dans les régions et districts sanitaires de la Côte d’Ivoire.

Vous venez d’organiser une assemblée générale de votre syndicat, quelles sont les résolutions que vous avez adoptées ?

L’assemblée a donné des orientations claires, à savoir : Regrouper les Biotechnologistes pour la défense de leurs intérêts matériels, moraux, pour l’amélioration des conditions de vie et de travail, conformément aux lois et règlements en vigueur. Œuvrer pour la mise en place de l’Ordre des techniciens biologistes de Côte-d’Ivoire. Promouvoir la profession de biologie médicale. Veiller à la signature et à l’application effective des décrets et arrêtés en faveur des Biotechnologistes. Lutter pour la défense des libertés syndicales. Œuvrer pour l’instauration d’un Système de Santé de Qualité et performant au service des populations et du Personnel en collaboration avec les autres partenaires de la santé. Promouvoir toutes formations professionnelles continues en facilitant notamment la participation de ses membres à tous les congrès, conférences, colloques, réunions, etc… sur le plan national ou international, pouvant servir à leur perfectionnement et leur promotion.

Dites-nous, quelle est la mission du SYNBIODE-CI ?

Le SYNBIODE-CI a pour mission de Promouvoir-Protéger-Défendre et Valoriser les Biotechnologistes de la Côte d’Ivoire. Pour y parvenir le SYNBIODE-CI offrira les services de Conseil et Assistance technique, Formation, Information, Recherche, Documentation, Revendication, Plaidoyer.

Nous constatons que des personnes qui n’ont aucune formation de technicien de laboratoire reconnue par l’Etat travaillent en toute illégalité dans les laboratoires des hôpitaux publics et les cliniques privées donnent des résultats d’examens. Quel est votre regard sur cette situation qui met en danger la vie de la population ?

C’est une situation déplorable, aujourd’hui le laboratoire est devenu la porte d’entrée de tous, vous qui êtes journaliste si vous avez un contact qui a un laboratoire, si vous y aller pour travailler, en moins d’un mois vous aller exercer en qualité de technicien de laboratoire sans êtes inquiété. Ce qui se passe dans les laboratoires est gravissime pour la santé de la population. Ces personnes rivalisent avec nous, les professionnels de santé, les techniciens de laboratoire médical diplômé d’Etat et affectés dans les hôpitaux. Ces pratiques constituent un réel danger pour l’image de notre profession. C’est la raison pour laquelle nous luttons pour la mise en place effectives de l’Odre des Techniciens Biologie Médicale afin d’assainir notre profession au risque d’être livré à la vindicte populaire. En Côte d’Ivoire l’exercice de profession de santé est soumis à une autorisation préalable du ministère en charge de la santé. Tout professionnel de santé doit procéder à son enregistrement dans le registre de sa profession de santé être détenteur d’une carte professionnelle. Pour être un technicien de laboratoire, il faut au minimum avoir le BAC suivie d’une formation de trois ans théorique et pratique. Cette formation doit absolument être reconnue par l’Etat de Côte d’Ivoire comme l’INFAS qui forme des techniciens biologistes dont le diplôme est reconnu.

Le médecin, la sage-femme, l’infirmier et autres se servent essentiellement des résultats du laboratoire pour faire le diagnostic et le traitement des patients, dans ce contexte quelle est la fiabilité des résultats des examens qui sortent des laboratoires ?

Les Techniciens Biologie Médicale, les Ingénieurs constituent un maillon indispensable dans la chaîne de soin et de la prise en charge sanitaire des patients dans les hôpitaux. Aujourd’hui avec cette situation, il se pose un véritablement un problème de fiabilité de résultats dans certains laboratoires. Il faut assainir notre profession. A cet effet, nous avons entrepris des démarches auprès du Ministre de la Santé, de l’hygiène public et de la couverture maladie universelle. Nous avons posé le problème au Conseiller Technique du Ministre Pierre N’gou Dimba. Il nous a rassuré que le Ministre allait mettre tout en œuvre afin d’assainir notre profession. Nous lui avons la nécessité de la mise en place de l’Odre Techniciens Biologie Médicale. Nous avons également échangé avec la Direction des Etablissements Privés et des Professions Sanitaires(DEPPS) qui est véritablement disposé à la mise en place de l’Ordre des Techniciens Biologistes. La direction a promis de nous convier à des séances de travail dans le cadre de la mise en place du registre de la profession de technicien biologiste en vue de règlementer l’exercice dans notre domaine.

Nous assistons à la privatisation des laboratoires dans des hôpitaux publics, qu’est ce qui explique cela ?

Je constat que vous êtes très bien informer des difficultés que nous traversons. Vous savez, le laboratoire rapporte beaucoup d’argent et certains dirigeants des hôpitaux préfèrent en faire leur chasse gardée, ils emploient des personnes non qualifié qui sont payé de façon dérisoire. Même pour les sous-traitances qui exigent la compétence des techniciens supérieurs de santé c’est l’anarchie. Le directeur de centre de santé signe un contrat avec un particulier et celui-ci prend le contrôle de la gestion du laboratoire, il fait venir ses employés qui ne sont pas qualifié a exercé en qualité de technicien de laboratoire. On ne sait pas par quelle magie mais il s’arrange à faire muter le professionnel qualifié qui y travail afin d’exercer en roue libre alors que l’objectif primaire d’un centre de santé n’est pas d’engranger des recettes. Le décret n 98-379 du 30 juin 1998 définit les conditions générales d'exercice des activités privées dans un centre de santé publique.

Nous constatons que le technicien biologiste n’est pas assez connu par la population, Quelle action vous comptez mener pour faire la promotion de votre profession ?

Nous allons organiser les Awards des Biotechnologistes de Côte d’Ivoire, une cérémonie de célébration et de récompense et de remise de prix aux meilleurs techniciens biologistes et ingénieurs en présence de la presse. Ces Awards auront un double enjeu : faire la promotion de notre profession et promouvoir l’excellence auprès des Biotechnologistes. Nous serons également présents au grand rendez-vous professionnel pour parler de notre profession.

Quel est le plus grand défi du SYNBIODE ?

Mon plus grand défi en tant que secrétaire général du SYNBIODE-CI est d’œuvrer à la mise en place de l’Ordre des Techniciens Biologie Médicale.

Réalisé par JMG

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Match de Gala /Le ministre des Sports offre des équipements sportifs à l’Académie El Shaddaï

L’Académie El Schaddaï du président Agbo Cyprien a effectué sa rentrée sportive  le samedi 31 août 2024, au stade Akran Jean Baptiste  de Songon Agban. A cette occasion, l’Académie a reçu des ballons, deux filets, des cônes et  des plots de la part du parrain, le ministre délégué auprès du Premier ministre chargé du sport et du cadre de vie Metch Adjé Silas  représenté par le DG  de l’OISSU. Mais avant,   les catégories  junior et cadette  se sont affrontées au cours  d’un match de gala parrainé par le Ministre délégué  au Sport, et  l’opérateur économique Touré Ahmed Bouah représenté par son DGA Guindo Dogolou. Un match d’un très bon niveau  qui s’est soldé par la victoire des juniors qui se sont imposés par  le score de 2-1. Pourtant, ce sont les cadets qui avaient ouvert la marque grâce à un joli lob avant la pause.  A la reprise, les Juniors posent le pied sur le ballon  et obtiennent l’égalisation suite à un pénalty. Ils prennent ensuite l’avantage et s’imposent au final 2-1.

Au terme de ce match de gala,  le représentant du Pdg de Sophia S.A, Guindo Dogolou  s’est dit satisfait du niveau de jeu des athlètes qui ont fait preuve d’engagement. «  Ils ont tous  mérité, ils ont joué en professionnel et  comme dans toute compétition il faut un gagnant,  le meilleur a gagné. Ils ont tous mouillé le maillot et c’était beau à voir. C’était une belle compétition », a-t-il révélé avant d’inviter « les jeunes à prendre conscience de ce que  pour devenir vedette, il ne s’agit pas de se percer le nez ou les oreilles,  mais  il faut travailler avec détermination  et éviter surtout le snobisme au risque d’échouer ». Représentant   le ministre délégué auprès du Premier ministre en charge du Sport et du Cadre de vie, Gbétié Danho, DG de l’OISSU  qui a suivi la 1ère édition a fait remarquer qu’ « il y a une nette évolution  chez jeunes  et cela est très bon surtout que le ministre attache du prix à tout ce qui est formation des jeunes ».  Le Chef de Songon-Agban,  Djirabou Jacob ne dit pas autre chose quand il affirme qu’ils ont assisté à une très belle rencontre. Selon lui,  « c’est un honneur pour Songon-Agban d’abriter de telles rencontres qui participent à l’éducation et à la formation des jeunes ». Heureux  de participer à ce match de gala initié par l'Académie El Shaddaï, le président des jeunes Dr Agbodan Bouaké Privat  a dit toute sa joie  « de voir toutes ses autorités autour de cette jeunesse qui en a besoin ».

In fine, le travail qui est effectué dans cette académie a été apprécié par le public qui a effectué nombreux le déplacement au terrain de Songon- Agban.  Vivement que les pensionnaires de cette académie trouvent un point de chute dans l’élite pour enfin réaliser leur rêve.    

 Patricia Lyse

 

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