En Tunisie, le président Kaïs Saïed donné vainqueur avec plus de 89 % des voix    Présidentielle en Tunisie : Saied vainqueur à plus de 89% selon un sondage en sortie d'urnes    Présidentielle en Tunisie : une participation très faible avec une désaffection des jeunes    RD Congo : début de la campagne de vaccination contre le virus mpox    Élection présidentielle en Tunisie : la participation, principal enjeu du scrutin    Les Tunisiens se rendent aux urnes pour l'élection présidentielle    Tunisie : une faible participation au premier tour de la présidentielle    Projet d'une nouvelle constitution, le nouveau texte divise les gabonais    La RD Congo, épicentre de l'épidémie de mpox, lance sa campagne de vaccination    Sommet de la Francophonie: des absences remarquées alors qu'Emmanuel Macron plaide l'unité    Sahara occidental : la justice de l'UE confirme l'annulation de deux accords UE-Maroc    En Tunisie, des manifestants dénoncent les "atteintes aux libertés" avant la présidentielle    Présidentielle en Tunisie, mort de Dikembe Mutombo, RD Congo "pays en faillite" : l'hebdo Afrique    Kaïs Saïed, un président aux pleins pouvoirs candidat à un second mandat en Tunisie    Sékou Touré, héros ou dictateur ?... La guerre des mémoires en Guinée Conakry    En Tunisie, une présidentielle jouée d'avance pour Kaïs Saïed ?    Fridolin Ambongo, archevêque de Kinshasa : "La RD Congo est un pays en faillite"    Présidentielle en Tunisie : Kaïs Saïed, chef d'État adoré autant qu'abhorré    66ᵉ anniversaire de l'indépendance de la Guinée : Mamadi Doumbouya appelle au "patriotisme"    Au Sénégal, Ousmane Sonko et Macky Sall, têtes de liste pour les législatives    Le Zimbabwe défend l'abattage d'éléphants pour soulager la faim due à la sécheresse    Disparition de l'ancien basketteur congolais Dikembe Mutombo, star de la NBA    Présidentielle en Tunisie : quels sont les enjeux de l'élection ?    Guinée : 15 ans après le massacre du 28 septembre, les victimes demandent une indemnisation    Chasse à l'homme en Afrique du Sud après deux tueries qui ont fait 17 morts    5ème édition de Black Fashion Xperience pour célébrer la mode "made in Africa"    La RD Congo peine à contenir l'épidémie de mpox    Le Sénégal ouvre des enquêtes pour "corruption généralisée", un ancien ministre placé en détention    Tunisie : le Parlement révise la loi électorale juste avant la présidentielle    Le Parlement tunisien révise la loi électorale juste avant la présidentielle

Sport

Mara’Monde 2024, Bleu Charlemagne (Pdt de la FIMAA)/ ‘’Au Maracaña, tout le monde a le droit de jouer pour tout le monde’’

La 1re  édition de la   Coupe du monde de Maracaña se déroule en Côte d’Ivoire du 27 septembre  au 6 octobre 2024. Après la fin des phases de poule le mercredi 2 octobre 2024, le président de la Fédération Internationale de Maracaña (FIMAA) Bleu Charlemagne a animé ce jeudi 3 octobre 2024, au Palais des Sports  une conférence de presse pour faire le bilan de la Mara'monde à mi-parcours. Il avait à ses côtés Doumbia Adama, Conseiller technique  au ministère des Sports. D’aucuns disent que ce ne sont pas des vrais  Canadiens, Belges ou Jamaïcains qui participent à la Mara’Monde. Face à ces allégations qu’il a qualifiées d’injure à ces républiques,  le président Bleu Charlemagne   a, au nom de la Fédération Internationale de Maracaña, présenté toutes ses excuses aux Belges, aux Canadiens et aux  Jamaïcains.  

« Aujourd'hui qu'un enfant d'Abobo se retrouve avec la Belgique c'est avantageux pour le joueur à qui on permet de s'épanouir. Il faut être fier que les gens viennent de loin pour recruter des jeunes ivoiriens voire africains. Nous travaillons pour l'épanouissement de la jeunesse ivoirienne voire africaine. Les Etats qui sont là ont leur ambassade ici. Si c'était du faux, il allait demander d'arrêter ça. Le Maracaña va susciter des talents ailleurs. Les Ivoiriens de Belgique ont décidé de défendre les couleurs de leur pays d'adoption,  la plupart des nationaux s'étant désistés en apprenant qu'ils affrontaient la Côte d'Ivoire  en match d’ouverture. Ils avaient peur de se faire humilier. Si la République belge leur fait confiance pour venir représenter ce pays, je suis heureux. Ce n'est pas un tournoi de quartier où on se cache.il ne faut pas faire l'injure aux pays représentés. Chaque pays a le droit de sélectionner qui il  veut .A la FIMAA, il n'y a pas de nationalité. Tout le monde peut jouer pour tout le monde et cela n'enlève aucun éclat a la compétition », a-t-il  clarifié.

Par ailleurs, il a invité les uns et les autres à  les juger  au résultat, à sortir de l’afro pessimisme, des valeurs négatives et à  regarder « à ce qui va nous faire grandir ».

Poursuivant, il a rappelé que 4 continents participent  à cette Mara'Monde dont la cérémonie d’ouverture a été  jugée très réussie  par la plupart des  communautés. Avec l’absence du Gabon,  pour faute de moyen,  21 matches ont été  joués  lors de la phase de poules, il en reste  8 et 8 sélections sont  rentrées.

 Parlant des infrastructures sportives, il a rappelé que le Maracaña étant  une discipline de proximité, une discipline pour des gens modestes, il s’adapte aux réalités des pays qui les accueillent. C’est pour cette raison qu’à la CAN au Bénin,  « nous avons autorisé à jouer dans un terrain de football où nous avons  joué  sur un  terrain synthétique. On n'a pas tous les mêmes niveaux économiques, c'est pourquoi on essaie de s'adapter à tous les pays  qui nous accueillent », a-t-il relevé avant de noter qu’au niveau des athlètes ça se passe bien  et aucun n’a contracté de blessure  excepté l'arbitre international Elisabeth  qui s'est foulé la cheville.

 Parlant de la mobilisation, il a fait savoir qu’ « elle  implique toutes les institutions. Bien que les matches se jouent les jours ouvrables, les jeunes viennent. Il a plu aux chefs de l'Etat d'offrir des billets aux jeunes. « Les prochains matches seront gratuits. Les tickets seront disponibles autour du terrain à partir des quarts des finale mais qu'ils viennent tôt parce qu'on a que 3500 places » .Le mondial est un tremplin pour faire la promotion du Maracaña, pour offrir plus de visibilité au Maracaña. Personne ne peut dire que le Brésil, qui a une tradition du Futsal profite des faveurs. Ils se sont apprêtés à partir de juillet et ils se sont accommodés aux règles c'est comme ça qu'ils sont arrivés là. La FIMAA a donné des consignes aux officiels techniques d'être des pédagogues. Quelle que soit l’affiche, il faut être des pédagogues. Le Brésil  a tenu tête à un ancien comme le Mali qui est avec nous depuis 2015. Nous sommes dans un processus d'accompagnement. Il y a peu de déception. Je félicite tous les pays qui  participent à cette compétition.  J'ai invité la Belgique et le Canada pour montrer qu'ils sont là avec l'assentiment de leur Etats. Les choses se font au vu et au su des ambassades qui sont les représentants des États en Côte d'Ivoire. Que la Mara'monde soit une réussite au soir du 6 octobre 2024 ».

Patricia Lyse

Mara’Monde 2024/ Le Mali pour l’honneur

Battu 2-4 par le Brésil puis 1-2  par le Canada  hier mardi 1er octobre 2024, au Palais des Sports de Treichville, le Mali joue pour l’honneur ce soir face aux USA. Un match que le capitaine Sidibé Rafan et les siens ne veulent rater sous aucun prétexte. Déjà éliminés de la compétition, les poulains des  coaches Coulibaly Mamadou et Soumaré Cheikh entendent se donner à fond  dans cette 3e et dernière journée de ce groupe  pour remporter la victoire. Une première qui leur fera certainement du bien avant leur sortie de la compétition.  En  arrivant en Côte d’Ivoire pour  la 1ere édition de la Coupe du monde de Maracaña (Mara’monde), les double champions d’Afrique dans la catégorie super Senior, nourrissaient de grandes ambitions.  Mais le terrain en a décidé autrement. Toutefois,  selon le coach adjoint Soumaré Cheich qui intervenait en conférence de presse d’après match  hier, « malgré la frustration,  nous allons nous remettre au travail pour revenir encore plus fort à la prochaine coupe du monde au Cameroun ». Il faut signaler que les différents matches de poules de cette 3e journée se joueront aux mêmes heures pour éviter les arrangements.

Patricia Lyse

 

Battu 2-4 par le Brésil puis 1-2  par le Canada  hier mardi 1er octobre 2024, au Palais des Sports de Treichville, le Mali joue pour l’honneur ce soir face aux USA. Un match que le capitaine Sidibé Rafan et les siens ne veulent rater sous aucun prétexte. Déjà éliminés de la compétition, les poulains des  coaches Coulibaly Mamadou et Soumaré Cheikh entendent se donner à fond  dans cette 3e et dernière journée de ce groupe  pour remporter la victoire. Une première qui leur fera certainement du bien avant leur sortie de la compétition.  En  arrivant en Côte d’Ivoire pour  la 1ere édition de la Coupe du monde de Maracaña (Mara’monde), les double champions d’Afrique dans la catégorie super Senior, nourrissaient de grandes ambitions.  Mais le terrain en a décidé autrement. Toutefois,  selon le coach adjoint Soumaré Cheich qui intervenait en conférence de presse d’après match  hier, « malgré la frustration,  nous allons nous remettre au travail pour revenir encore plus fort à la prochaine coupe du monde au Cameroun ». Il faut signaler que les différents matches de poules de cette 3e journée se joueront aux mêmes heures pour éviter les arrangements.

 

Taekwondo : Accusé de harcèlement sexuel et d’abus d’autorité / Me Koné Mamadou Thierry : ‘‘Je n’ai rien à dire, adressez- vous au chargé de communication’’

Le scandale sexuel qui secoue la Fédération Ivoirienne de Taekwondo (FITKD) a pris une tournure judiciaire. Une plainte contre Me Koné Mamadou Thierry, formateur et  entraineur  des équipes nationales de combat a été déposée près le Tribunal de Première instance de Yopougon par le père d’une athlète. Ce,  pour harcèlement sexuel contre ma fille, violation de l’éthique et des valeurs du sport et pour abus d’autorité, peut-on lire sur la plainte.  

Interrogé par téléphone  ce lundi 1er octobre 2024, sur ce scandale sexuel dont il est accusé, Me Koné Mamadou Thierry nous a dit qu’il n’avait rien à dire et nous a demandé de nous adresser à Me Pamphile Kablankan, chargé de la Communication à la FITKD.  Nous lui rappelons que le Comité directeur est dissous  mais il nous répond qu’il y a un service minimum qui est assuré. Alors nous le prions de bien vouloir nous communiquer le contact téléphonique du chargé de communication, et  il dit ne pas l’avoir.   Nous y reviendrons.

Affia Marie 

5e journée de la Mara'monde /Soumaré Cheikh (Coach adjoint du Mali) : ‘’Ce sera victoire ou victoire’’

 Le Mali affronte le Canada ce mardi au Palais des Sports de Treichville dans le cadre de leur deuxième sortie dans la Mara’monde  2024 qui se déroule à Abidjan. Après avoir chuté d’entrée  2-4 face au Brésil dimanche dernier, les Maliens nourrissent de grandes ambitions dans cette 1ère édition de la Coupe du monde de Maracaña. Se prononçant  en conférence de presse d’avant-match, lundi après-midi ,  le  coach adjoint du Mali Soumaré Cheikh qui avait à ses côtés le capitaine Sidibé Rafan   a indiqué que ce match est capital pour  eux .Ce sera la victoire ou la victoire.  « C’est  vrai qu’on a eu une journée riche en émotions hier. On a fait le compte en fin de journée  et le Mali est 4e. Mais on a fait le plein d’énergie  et on s’est remobilisé. Comme vous pouvez l’imaginer on est prêt à aller de l’avant. Ce deuxième match est capital pour nous. Ce sera  victoire ou  victoire face au Canada », a-t-il prévenu.  Comme on peut le constater, la sélection malienne n’a pas droit à l’erreur s’il veut réaliser son rêve de remporter cette coupe du monde.

Patricia Lyse

3ème journée de la Mara'monde /Le Canada et le Brésil impressionnants

  La troisième journée de la Coupe du monde de Maracana / Mara'monde en Côte d’Ivoire a offert un spectacle impressionnant, dimanche 29 septembre, au Palais des Sports de Treichville.

Ouvrant les hostilités, le Brésil a pratiqué un jeu collectif remarquable. L'on dirait un Maracaña champagne qui a plu aux spectateurs. Le Mali, athlétique, a dû  user d'un jeu physique pour freiner les ardeurs des brésiliens. 

En seconde rencontre, le derby nord américain a tourné à  l'avantage des canadiens. 4 buts à  3.

Cette opposition a tenu toutes ses promesses avec des rebondissements jusqu'au coup de sifflet final.

 En effet, la formation canadienne a  un jeu posé avec de beaux gestes techniques notamment  les talonnages, elle a fait preuve de rigueur et de solidarité en défense pour repousser les assauts des américains. Digbeu Kougnon Ezeckiel et Nogbo Dago Kévin ont été teigneux. Blessé, Digbeu a été contraint d’abandonner ses coéquipiers. Le réalisme des américains leur a permis de réduire le score dans le 2ème et 3ème tiers temps.

A noter que les équipes des USA, du Canada, de la France, la Belgique ont une ossature de  maracaniers ivoiriens résidant dans ces pays.

La 3ème  rencontre a enregistré la victoire de la  Belgique  sur le Cameroun  par 3 buts à  2.  Cette performance  remet les belges en selle après avoir été battus sur le fil par la Côte d’Ivoire (2-2 / 6- 5 TAB).

Le Ministre Délégué en charge du Sport et du Cadre de Vie, le président de la FIMAA, Bleu Charlemagne et plusieurs personnalités ont assisté à  ces différentes rencontres.

Eugénie Agoh

Mara’monde : Après la défaite des siens face au Brésil / Le coach malien fustige l’arbitrage

Battu 2-4 par le Brésil lors de leur première sortie de la Mara’monde  ,  ce dimanche 29  septembre ; au Palais des Sports à Treichville,   le coach du Mali Mamadou Coulibaly a fustigé l’arbitrage. Il l’a fait savoir en conférence de presse d’après match.

«  Je vais parler sans langue de bois.  Le Maracaña c’est notre  fête. Que la compétition se déroule donc  sur des bases saines. J’ai un peu honte de ce que j’ai vu ce soir. C’est vrai que le Brésil est un pays mythique du football, il n’a -as démérité sa victoire mais j’ai l’impression que tout était fait pour que le Brésil gagne. Excusez-moi de parler comme ça parce que l’arbitrage n’était pas du tout à la hauteur de l’évènement. Je  suis désolé de voir que cette Coupe du monde qui devait regrouper la crème des marcandiers du monde   se passe ainsi.  Si le Brésil a été invité pour qu’il aille très loin, que ça se fasse  dans l’art des choses. Ils savent très bien jouer au ballon, le Mali aussi oui. Nous connaissons très bien les règles du Maracaña. On les maitrise totalement. Ce qu’on a vu aujourd’hui est tout simplement honteux.  Bravo  au Brésil. L’organisation que nous avons vue au départ  nous avait totalement rassurés.  Mais avec ce que nous avons vu aujourd’hui, nous sommes dans le doute.  Les arbitres sont suffisament aguerris pour savoir c’est quoi la simulation  c’est quoi la  faute.  Ce qu’on a vu aujourd’hui, ce sont de véritables fautes simulées. On ne pouvait pas jouer. On connait les règles du Maracaña, le Mali a été deux fois champion d’Afrique. Aujourd’hui, ce qu’on a vu était tout sauf du Maracaña. Je suis vraiment désolé pour mon sport. En infériorité numérique, le Mali a réussi  à réduire le score. Puisque le Mali commençait à revenir dans le match, il fallait tout simplement faire sortir quelqu’un. Et les fautes que les Maliens faisaient ; ce sont les mêmes fautes que les Brésiliens faisaient. Mais je ne sais pas. Je n’ai pas l’habitude de parler de l’arbitrage mais aujourd’hui, on est dans une coupe du monde », a récriminé le coach du Mali qui pense qui pense qu »il ya encore quelque chose à faire.

Patricia Lyse

 

S'abonner à ce flux RSS
xxx